Avec les pas du temps, avec ses pas gigantesques d’infernal géant

Je n’étais pas dans ce RER, je ne suis pas descendu à cette station, et nous ne nous sommes donc pas vus.

J’aurais, comme déjà écrit, beaucoup aimé être avec toi ce soir là. Mais les temps réclamaient autre chose. Patience, sagesse, mise en perspective. Combat un tout petit peu plus sérieux que celui de ne pas t’écrire ou de ne pas te téléphoner. J’aime me dire que tu viens encore ici. J’aime me dire hmm telle annonce a dû lui plaire, elle a dû la trouver marrante ou bien écrite.

Nous nous retrouverons. Je crois que le monde est joli et que notre histoire l’est.

Nous apporterons la réponse à une question demeurée en suspens, celle qui nous rapprochera où que nous allions, qu’on regarde devant, derrière, à gauche ou à droite, qui nous ramènera l’un à l’autre, tendrement, jusqu’à notre dernier souffle.

Qui d’autre aurait supporté cela ?

    Détails

  • RERaà Nogent-sur-Marne.
  • Une rencontre faite le 6 février 2012.
  • Rédigé par un homme pour une femme.
  • Publié le jeudi 6 février.