De Ste Gen à Austerlitz, de la terre au paradis (bis)…

Comment écrire, sans répéter ce qui l’a déjà été par d’autres, pour d’autres….

Comment trouver les mots qui vous décriront, sans tomber dans les banalités…

Vous êtes une femme brune, coupe ‘au carré’, et semblez discrète voir timide.

J’ai la chance d’avoir croisé votre regard à Sainte Geneviève des Bois, sur le quai, et d’être ébloui par votre si joli sourire et un bonjour tout aussi radieux, lundi matin vers 08h00….

Hélas hier, j’ai erré sans avoir la chance de vous recroiser.

Ce matin, je semblais destiné au même supplice, lorsque je vous ai vue, descendant du train à la gare d’Austerlitz, vers 08h40.

Dans le couloir menant aux lignes 5 & 10, en haut des escaliers vous m’avez enveloppé d’une joie douce et fraiche en vous retournant et en m’adressant ce si magnifique sourire et ce non moins doux bonjour.

Me voilà m’envolant vers les rêves les plus doux de vous rencontrer, de vous parler, de vous connaître, de vous découvrir, lorsque je vous reconnais de dos sur le quai de la ligne 10….

Et là, paralysé, je n’ose vous approcher, ne sachant comment vous dire que je veux vous connaître, que je vous trouve si belle, figé par le peur de vous décevoir, de vous déranger, de balbutier, de banalités qui vous ferait perdre votre entrain à mon égard, donc, je fuis sur le quai vers la tête du métro, je me retourne et vous vous tournez vers moi, et moi, je fuis, je fuis et je m’en veux de ne savoir que faire, comment faire…..

Ce matin vous étiez en jean bleu et baskets noires, de type converse si je ne me trompes.

Il me semble que votre veste était crème / beige….

Ha, si vous passiez par ce site et que vous compreniez que je parle de vous,

Je ne peux que croire en un miracle,

Qui par le biais de ce message,

Fasse que nos destins se croisent…