La vie d’un idiot
Vers 9h ce matin… Je ne sais pas à quelle station tu es monté… Absorbée par la lecture de “la vie d’un idiot.”, je n’ai levé les yeux que sous la pression de ton regard. Avec tes demi-sourires, ton regard, impossible de me concentrer sur ma lecture… A l’entrée d’une femme avec ses deux enfants, nous nous sommes souri juste avant que je ne descende à la Bastille…
Je portais un chemisier long bleu et toi une chemise bleue…
J’aimerais vraiment te revoir…