Je me surprends encore à te chercher du regard quand je passe à Versailles.

Souvent, pour te voir, je laissais passer plusieurs trains à Versailles chantier. Je n’ai jamais osé te parler, nous étions pourtant presque seuls dans le wagon (au départ le matin et au terminus le soir). Puis nos chemin se sont séparés.

Je regrette toujours d’avoir laissé filer le temps, et toi avec, entre l’automne 2009 et le printemps suivant.

Je me surprends encore à te chercher du regard quand je passe à Versailles.

Tu croisais parfois une amie à toi à St Cyr, je ne la voie plus non plus..