Marie, Marie, et ton parapluie
Ah Marie,
Comment se dire qu’on ne se reverra plus jamais.
Tu t’endormais partout, sous la pluie.
Nos mains se liaient.
Je ne voue aucun espoir à ce message.
Mais il est bien triste que de me dire que je ne te reverrai plus jamais.
- Métro1à Franklin D. Roosevelt.
- Une rencontre faite le 14 octobre 2012.
- Rédigé par un type pour une femme.
- Publié le dimanche 14 octobre.