A la belle inconnue de la…

J’étais dans la rame depuis quelques stations, vers 9h45, quand soudain tu es montée. Tu étais grande, avec des yeux bleus magnifiques et des cheveux châtains ondulés. Tu portais un pantalon noir et un joli haut à fleurs. J’étais vêtu d’un T-shirt sombre et d’un pantalon beige.

Nous nous sommes regardés à plusieurs reprises puis sommes descendus tous les deux à la station République. Tout en marchant sur les quais, tu t’es progressivement rapprochée de moi, mais étant pressé, je n’ai osé engager la conversation. Puis nos chemins se sont séparés, lorsque nous avons pris la direction de sorties différentes, à mon grand regret…

Le brin aux yeux verts qui s’en veut et espère te revoir un jour