Un regard… Foudroyant

Il devait être environ 11 h 25 et nous étions assis de part et d’autre de l’avant dernière porte du métro. Je ne me souviens plus d’où tu es montée mais nos regards se sont croisés et tu m’as transpercé. J’ai essayé de continuer à lire mais sans succès. Tu avais des vans violettes, un pantalon bleu et un grand sac blanc sur tes genoux. Ton regard m’a tellement frappé que je suis incapable de l’oublier et j’aimerai bien le revoir. Je suis descendu à Gare de Lyon et nos regards se sont recroisés juste avant que je descende.