On est monté dans le train…

On est monté dans le train à Nation vers 18h30, tu es allée en haut, je suis resté en bas des escaliers.

Tu as finalement eu une place assise, et quand la place te faisant face s’est libérée, j’y suis venu lire mon magazine, ne pouvant m’empêcher de lever les yeux régulièrement.

A Noisy-le-Grand, je me suis levé et t’ai adressé un petit sourire avant de descendre.

Même si tu es descendue derrière moi, nos chemins se sont séparés ici…

Évidemment, maintenant, je regrette vraiment de ne pas t’avoir adressé la parole, et je ne peux qu’espérer te recroiser prochainement…