Le beau gosse de la 13

Ce n’est ni une bouteille à la mer, ni une déclaration…

Vous ne m’avez sans doute jamais remarquée, ce n’est de toute façon pas le but de ce message.

Je vous croise 1 à 2 fois par semaine, en fin de journée. Je ne sais jamais où vous montez (St Lazare peut-être ?) mais je sens quand vous êtes là.

Vous le beau gosse, type bad boy, crâne rasé, boucle d’oreille et une visage à faire pâlir d’envie un ange, je vous remercie d’illuminer ma fin de journée et de “m’accompagner” jusqu’au terminus.

Un sourire en plus et je serai définitivement fan.