Un sac à dos coincé, et un livre de Murakami
Je suis monté rapidement dans le métro, aux alentours de 13h. Mon sac à dos est resté coincé à la fermeture des portes automatiques. Tu m’as aidé à tirer le sac et m’as fait un joli sourire. Dans tes mains un livre: “Kafka sur le rivage” de Haruki Murakami.
Nous sommes descendus tous les deux à Montparnasse, et je me suis laissé doucement espérer que je te retrouverai dans le train que j’allais prendre. Tout dans ton attitude était élégant… J’ai marché à tes côtés sur quelques mètres, voulant engager la conversation, mais n’en ai pas eu l’audace.
Il est 22h et je pense encore à toi, d’où ce message… Je souhaiterais vraiment te connaître. Salam