A celle qui est trop gaie

Appuyée contre la porte du métro, tu discutais avec un mec barbus (je le maudis!). Des yeux verts noisette brillants et éblouissants, de beaux cheveux blonds-châtains clairs, une bouche suave et sensuelle ; habillée d’un magnifique haut noir dentelée au dessus de la poitrine et d’un grand manteau noir très distingué tombant sur de petites bottines en cuir brun. Tu as un air enjoué et charmeur. Je t’ai dévoré plusieurs fois du regard mais tu me fuyais (désir ou déplaisir ?)… Revoyons-nous bientôt chérie