L’espoir fait vivre…

J’étais seul, tu étais seul, je lisais mon journal, tu lisais un livre.

Je n’ai cessé de te regarder, m’as-tu seulement remarqué ?

Comme pour t’échapper de la réalité, tu restais plongée dans ton livre.

Tu étais vêtu d’un jupe noire, de bas noirs et ballerines noires aux pieds.

Tu portais un haut blanc recouvert d’un cardigan noir.

Ton sublime visage restera pour toujours gravé dans ma mémoire.

Dans l’espoir incertain d’une réponse de ta part, je t’envoie cette missive comme on jette bouteille jetée à la mer.

    Détails

  • RERaà Gare de Lyon.
  • Une rencontre faite le 28 avril 2010.
  • Rédigé par un homme pour une femme.
  • Publié le mercredi 28 avril.