Ô, toi, jolie brune. Je t…

Ô, toi, jolie brune.

Je t’ai croisé vers 12:00, je t’ai effleuré, frôlé, en descendant, et là, j’ai été incapable de faire un pas de plus. Je me suis retourné, je t’ai regardé, ou admiré plutôt jusqu’au moment où le train t’a emporté vers Etoile, nous avons échangé un regard, et je suis presque sur d’y avoir vu un sourire.

J’suis resté quelques minutes béat, et maintenant, voilà, je regrette de ne pas être monté avec toi, m’aventurer je ne sais trop où dans l’espoir d’échanger quelques mots avec toi.