Superbe regard, veste cuir noir, baskets cuir noir, les matins de semaine

Je n’ai pas eu l’heur de croiser votre regard depuis le 13 février (voir mon message déposé à cette date).

Je n’ai rien vraiment fait pour cela même si, chaque matin, j’espère et je guette votre éventuelle entrée dans la rame.

Sauf vendredi dernier, jour où j’ai quitté la maison un peu plus tard, afin d’être à Saint-Paul aux horaires auxquels je vous avais précédemment rencontré : en vain.

Le 27 janvier, comme le 13 février, vous aviez un blouson en cuir noir avec une discrète fourrure autour du cou. Il était ouvert et j’ai pu constater que vous le portiez directement sur une chemise, avec une écharpe (rayée, je crois).

Les deux fois, vous chaussiez des baskets en cuir noir et vous écoutiez de la musique avec gros casque noir.

Outre ma timidité et la crainte d’être vu par des collègues de travail qui prennent aussi la ligne 1 en direction de la Défense, je n’ai pas osé vous aborder, ni même vous envoyer un signe pour vous faire comprendre l’intérêt que je vous porte.

C’est pourquoi j’en appelle à toutes les personnes qui liraient ce message et qui vous verraient sur le quai de la station Saint-Paul le matin vers 08:25 afin qu’elles vous informent de l’existence de mes messages.

    Détails

  • Métro1à Saint-Paul.
  • Une rencontre faite le 13 février 2015.
  • Rédigé par un homme pour un homme.
  • Publié le dimanche 22 février.