C’était il y a 6 ans et je regrette toujours

Souvent, pour te voir, je laissais passer plusieurs trains à Versailles chantier. Hormis te demander le journal que tu venais de lire, je n’ai jamais osé te parler, nous étions pourtant presque seuls dans le wagon (au départ le matin et au terminus le soir).

Puis nos chemin se sont séparés.

C’était il y a 6 ans et je regrette toujours