A ma voisine de train

Si j’avais eu vingt ans de moins

Je t’aurais prise par la main

Et dans ton oreille endormie

Glissé des mots doux et gentils

Ravissement de tous les yeux

Assise, belle et majestueuse

Mon regard tourne autour de toi

Mais jamais ne s’y dépose.

Ton parfum doux et enivrant

Grise mon âme, ravit mon cœur

Il s’est consumé à force

De trop vouloir te contempler

Le pauvre qui ne t’a jamais vue

Je le traiterais de menteur

S’il osait prétendre connaître

Ce que la beauté signifie.

    Détails

  • Transilienuà La Défense.
  • Une rencontre faite le 15 septembre 2015.
  • Rédigé par un homme pour une princesse.
  • Publié le mardi 15 septembre.