Bus 390, Part III
Finalement, comme tu as cessé de prendre ce bus pour aller travailler, ton visage finit par s’estomper dans mon esprit. Il se pourrait même que je te croise un jour par hasard dans la rue et que je ne te reconnaisse pas. Ce serait vraiment bête. En tout cas, j’espère que tu ne raseras jamais ce petit bouc qui te donne tellement de charme.