À celle qui était triste

Toi la jolie brune assise en face de moi , après quelques instants, j’ai remarqué des larmes couler puis s’arrêter. Quand celles-ci ont repris, devant ma peine de voir tes si jolis yeux embués, je t’ai offert une pâtisserie. Tes larmes sont alors devenues sourire, tu as retiré tes écouteurs et m’as adressé un large sourire, peut-être avais-tu besoin de parler. Je n’ai pas osé te parler, peut-être par timidité, ou par souci de ne pas t’embêter. Puis je suis descendu à Austerlitz mais j’aurais dû prolonger le trajet avec toi. Je ne pense qu’à ton sourire étincelant depuis. J’espère que tu vas mieux et qu’on se recroisera.

    Détails

  • RERcà Gare d'Austerlitz.
  • Une rencontre faite le 20 mars 2016.
  • Rédigé par un homme pour une femme.
  • Publié le dimanche 20 mars.