Sait-on jamais (4) ?

C’était le 23 mars, vers 10h00 du matin, une semaine déjà. Tu es montée Gare du Nord, tu étais au téléphone. Tes grands et beaux yeux clairs se sont posés sur moi, je lisais l’Arrache-coeur de Boris Vian Nos yeux se sont croisés une, deux, trois,…, fois, nous nous sommes souris une, deux, trois,…, fois !! Aucun mot n’exprimait mieux ce qu’il se passait.

JE suis descendu en gare de Massy Palaiseau, sans même te demander ton prénom ou te laisser mon numéro de téléphone..Si tu passes par ici, que tu te reconnais et que toi aussi tu as envie d’en savoir plus, fais moi signe