Brune dans le wagon du fou (suite et fin) : le code couleur

Je n’ai malheureusement jamais revu la charmante demoiselle dont les beaux yeux verts m’avaient tant mis les sens à l’envers la semaine dernière … J’aurais dû tenter quelque chose, quitte à me prendre un méchant rateau, comme c’est probable … Maintenant j’ai des regrets.

Par contre, ce matin, en attendant mon train, j’ai aperçu au loin une jeune femme arborant un foulard vert. Alors je me suis demandé si c’était lié à mon précédent message où je proposais un code couleur à base de foulards.

Je rappelle le principe :

* rouge ou jaune = “foutez moi la paix” (ou bien “Viva Espana, olé” !)

* bleu ou vert = “soyez pas timides, venez me parler, je ne vous mangerai pas).

Alors, hasard ou coincidence ?

S’il y en a que ce mode de communication silencieuse intéresse, je vous laisse compléter ces indications vestimentaires avec ce que devraient porter les garçons pour marquer leur degré d’ouverture. Pas de trucs ridicules, genre casquette de Gooffy ou salopette à bretelles, SVP. Des trucs mettables qui n’exposent pas les gars esseulés à la vindicte populaire.

Bonne journée à tous et à toutes. Et bonne chance à tous ceux qui en ont marre de ne vivre que pour eux mêmes. Puissent-ils trouver la moitié qui leur manque pour avancer.

Quant à moi, j’essaierai encore de me lever tôt demain pour recroiser la jeune femme qui m’avait inspiré cette série de messages. C’est sans espoir mais qui ne tente rien n’a rien …

Et puis il y en a au moins un à qui profite le crime : mon patron me voit arriver plus tôt tous les matins. Heureux homme !

Ps : et cette fois ci j’arrête de spammer pour de bon.

    Détails

  • RERaà Nation.
  • Une rencontre faite le 16 juin 2016.
  • Rédigé par un homme pour une femme.
  • Publié le lundi 20 juin.