Pour que ce magnifique sourire ne soit pas qu’un beau souvenir…

En attendant le métro à Charles Michels ce mercredi vers 20h30, je t’ai immédiatement remarqué lorsque tu es arrivée. Tu étais seule et tu téléphonais.

Tu es brune, fine, élégante, les cheveux attachés et serrés, les ongles vernis rouge et le teint halé par le soleil des vacances sûrement. Tu étais notamment vêtue d’une veste d’un rouge discret et d’une légère soie autour du cou.

Quant à moi, accompagné de deux amies, je portais un jean foncé, une veste noire et on polo blanc sous un pull foncé col en v. Je suis brun aux yeux verts et encore un peu bronzé de l’été.

Nous sommes montés dans le même wagon. Tu es descendue à Duroc il me semble. En te dirigeant vers la sortie tu passas devant notre fenêtre, tu as vu que je te regardais et je fus saisi par le large sourire que tu m’adressas en retour. Que faire? Trop tard. Tu étais dans le couloir, les portes de la rame s’étaient refermées et nous redémarrions.

Je me suis dit que j’allais tout essayer pour savoir ce que tu cachais derrière ce beau sourire…