De Saint-Ambroise à Nation

Toi en chemise à carreaux avec ton sac à dos et ses lanières qui tombaient sur la tête de l’homme assis derrière. Des regards, de la timidité. Puis à la descente, deux têtes qui se tournent, un coucou et la foule qui nous emporte chacun de notre côté. De Saint-Anbroise à Nation, c’était trop court pour que j’ose. Que tu oses. Tu étais beau et j’ai aimé ton sourire