Une splendide voisine évaporée dans un bar tabac au début de la Rue de Lyon

Nous avons partagé le trajet depuis St Lazare, ainsi qu’un petit bout de chemin rue de Lyon, ce lundi 31 octobre, entre 21h15 et 21h30.

Vous aviez un long manteau ocre, des collants noirs et des bottines en cuir, j’avais un chapeau et plusieurs sacs à dos.

Il me semble que nos regards se sont croisés à plusieurs reprises, mais mon accoutrement post-football et la quasi similitude de nos chemins m’ont tétanisé. Je n’ai osé vous aborder, par crainte de passer pour un sombre stalker… Et désormais je m’en mords les doigts.

Si par hasard vous passez par ici, n’hésitez pas à me contacter.