Un sourire…une gêne…le plaisir de savoir que tu existes
Tu étais si belle…tu es rentrée à Oberkampf et m’as regardé avec étonnement, comme si mon visage te disait quelque chose. Il était environ 9h55.
On était debout tous les deux et dans un virage à un moment, tu m’as légèrement bousculé en t’excusant avec un magnifique sourire.
Nous nous sommes souris mutuellement. A république, les voyageurs sont descendus et nous nous sommes retrouvés debout côte-à-côte à l’emplacement des strapontins relevés…Tu es descendue à Bonne Nouvelle et je me suis dis quelle erreur de t’avoir laissée filer sans te dire un mot…
Si tu lis ces quelques phrases, manifeste toi car la vie est trop courte.