Soyeux et costaud
Bonjour,
Fernando ou Alejandro Costa, ou je que sais-je, je t’ai croisé ce matin à la station Duroc. Tu portais des parpaings sur ton épaule droite, et tu sentais bon la morue toute fraîche. Je crois t’avoir déjà croisé chez Casto entre les pelles et les truelles le weekend dernier. C’est peut-être un signe pour bâtir peut-être un jour notre logis ?