Un sourire qui éblouit.

Merci à vous mademoiselle, d’avoir enchantée ma journée, en répondant à mon regard atone, les sourcils haussés face à nos pénibles conditions de transports.

Moi : Dans le début de la trentaine, en habit de travail : costume, chemise blanche, cravate rayée, barbe d’une semaine…

Vous : Châtain/roux, au 3e rang sur le quai d’en face, attendant de monter dans la voiture suivante ou celle d’après.

Il est triste que ces moments soient si rares. Dans l’ambiance générale d’aigreur, cette lueur m’a redonné espoir en l’humain pour la journée.

Chers Parisiens, ou personnes habitants en IDF : arrêtez de faire la gueule.