Ce ne sera qu’un au revoir …
À Porte de Pantin, le ciel annonçait la tempête mais elle est restée dans mon cœur. Je t’avais remarqué en arrivant à la station, mais je n’ai pas voulu t’ennuyer. Puis dans le tram, à l’avant du tram, tu m’as rendu mes sourires timides. Dommage, une seule station à Delphine Seyrig.
Au revoir, tu m’as répondu.
Je le veux, je m’arrangerai pour être à cette horaire là où tu étais assise … En train d’attendre le tram.