Le jour ou je suis…
J’aimais te croiser parfois le matin, parfois le soir.
Les jours de chance matin et soir.
Tu étais si jolie, si fragile, si douce.
Peut-Être qu’a tord j’attendais un signe de ta part.
Peut-Être que je ne l’ai pas vu.
Le temps a passé.
Puis un lundi matin nos regards se sont croisés.
Même si sur le coup ça n’a pas été un évidence.
Au fond de moi j’ai ressenti que se serait notre dernière rencontre.
Nos chemins se sont séparés. Je ne suis détesté.
J’ai quand même espéré te recroiser par hasard…
Ce lundi est le jour ou je suis mort.