Une fleur sur la 6…

On s’est croisés dans les couloirs menant à la ligne 6 à Place d’Italie, samedi 2 avril vers 18h-18h30, tu as commencé à me parler… je t’ai répondu rapidement. J’étais gêné, tu étais si magnifique, toi la jolie brune dans ta robe bleue. On s’est retrouvé assis l’un en face de l’autre jusqu’à Nation où l’on s’est séparé. Tout le trajet, je n’ai cessé de te regarder, toi tu me regardais également… Nos regards se sont croisés une première fois, on s’est souris timidement, tu étais si magnifique. A la seconde fois où nos regards se sont arrêtés l’un sur l’autre, j’étais gêné et trop timide pour entamer une nouvelle fois la conversation. Je suis le jeune homme brun en jean et chemise noire et blanche, toi jeune femme brune, robe bleue, yeux magnifiques qui portait un sac rempli de livre d’histoires de l’art (je crois). Si tu lis ces lignes et si tu te reconnais, n’hésite pas à prendre contact avec moi, ton regard m’ensorcelles depuis ce jour où je t’ai croisé sur la ligne 6.