Mais ou es tu…

A toi qui avais les yeux bleus,

à toi qui était brune avec des cheuveux d’anges,

à toi qui était si belle,

nous nous sommes souris et fixé du regard,

il était minuit moins le quart,

je ne puis m’empécher de repenser à ton sourire dévastateur

le plaisir du regard a suffit à remplir mon coeur,

mais dans un cris de désespoir, je cherche à te retrouver,

car dans le noir tu m’as éclairé,

toi la femme, la vraie.

je sais bien que ce n’est qu’une utopie,

mais parce que l’éspérance nous maintiens en vie,

je te publie ce miroir,

qui reflete ma nuit. k

    Détails

  • Métro9à Pont de Sèvres.
  • Une rencontre faite le 27 mai 2011.
  • Rédigé par un homme pour une femme.
  • Publié le vendredi 27 mai.