Au sourire ravageur…

Ce matin, j’étais content d’avoir pressé le pas. Déjà, j’ai limité mon retard, et surtout j’ai trouvé la meilleur place du wagon. Quelques marches à grimper pour me poser devant vous :) . J’ai soigneusement évité de vous regarder, sorti un bouquin, mais mes talents d’illusionniste sont limités. Au moment d’arriver à Saint-Lazare, vous m’avez signifié d’un sourire que vous n’étiez pas dupe et m’avez par la même occasion convaincu d’écrire ce billet auquel, j’espère, vous me donnerez réponse.