Des sourires qui pétillent
En tête de train, je suis montée à Simplon.
J’ai remarqué le badge d’Alevêque sur ton sac, tu me l’a donné.
Tu m’as dit que tu t’apellais Pierre.
On a parlé théâtre, danse, musique, mais apparemment tu ne t’es pas souvenu de mon nom de famille *
- Métro4à Réaumur — Sébastopol.
- Une rencontre faite le 31 mars 2012.
- Rédigé par une femme pour un homme.
- Publié le lundi 2 avril.