Descendue à Bercy, sourires timides et George Brassens
Longs regards et sourires magnifiques, tu portais un lourd dossier bleu. Je me cachais derrière un livre jusqu’à ce que j’abdique, tu détournais joliment la tête après chaque oeillade et te dérobais sous tes lunettes et tes longs cheveux ondulés. Le trajet entre Montparnasse et Bercy fut rarement aussi agréable qu’en ce jour où il y résonnait un air de Brassens. Je n’ai échangé avec toi que deux mots, alors que tu descendais, mais j’aimerais en multiplier le nombre.