Quand je suis monter à place…

Quand je suis monter à place d’Italie, je t’ai vue, à ma droite, assise le long de la porte, sur un strapontin.

Nos regard se sont croisés, parfois furtivement, parfois plus longuement surtout sur la fin, quand tu es descendue à chatelet il me semble.

J’aurais aimer en savoir plus sur toi, dont j’ai pu apprécier le sourire, quand tu as lu quelque chose sur ton portable.

J’avais une chemise orange, donc assez inoubliable.

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