Emporté, je n’ai pas imprimé…

Emporté, je n’ai pas imprimé ton ombre, ta silhouette, posée entre un arbre et un kiosque. Tu rayonnais pourtant, patientant surplombée par l’imperturbable Bastille.

Te connaissant, mon coeur s’est fendu. Te reconnaissant, j’ai capitulé… Et pourtant, orgueilleux t’ai snobé. Cette situation restera gravée à jamais comme mon impuissance modèle.

Je t’embrasserai mon coeur nos amours effrénés.

    Détails

  • Métro1à Bastille.
  • Une rencontre faite le 25 octobre 2012.
  • Rédigé par un homme pour une femme.
  • Publié le samedi 27 octobre.