Emporté, je n’ai pas imprimé…
Emporté, je n’ai pas imprimé ton ombre, ta silhouette, posée entre un arbre et un kiosque. Tu rayonnais pourtant, patientant surplombée par l’imperturbable Bastille.
Te connaissant, mon coeur s’est fendu. Te reconnaissant, j’ai capitulé… Et pourtant, orgueilleux t’ai snobé. Cette situation restera gravée à jamais comme mon impuissance modèle.
Je t’embrasserai mon coeur nos amours effrénés.