Tu es montée à Franklin Roosvelt pour descendre à Billancourt… comme moi!

Arrivée au travail, la première chose que je souhaite faire c’est essayer d’attirer ton attention chose que je n’ai pas osé faire dans le métro.

Ce n’était pas la première fois que je te voyais ce matin. Tu es montée à Franklin Roosvelt comme moi, pour descendre à Billancourt… comme moi! Tu t’es directement assise en rentrant dans le wagon, avant de te plonger dans un bouquin. Je te décrirais comme étant une très jolie jeune femme, à la peau bronzée et aux yeux foncées.

La première fois, si ma mémoire est bonne, j’avais eu l’occasion de t’interpeller sur ce même trajet, pour te demander si tu n’avais pas oublié un rouge à lèvres sur l’un des sièges. Ce rouge à lèvres (qui n’était pas à toi) et qui trainait aurait pu me permettre d’enchainer sur un début de conversation mais non, nous avons tous deux filé vers notre journée.

Ce message est juste l’occasion de te dire que ton charme agit diaboliquement sur moi, que j’espère qu’il y aura une prochaine fois et que peut-être j’aurais l’occasion de savoir qui tu es.