Je ne pense pas que tu…

Je ne pense pas que tu sois le genre de fille qui ai le temps de regarder ce genre d’annonce, mais si jamais, je te dirais que je suis désolé de ne pas avoir eu le courage de t’aborder. Tu étais si jolie toute en noir vêtue de petites bottines en velours et d’un pantalon stretch. Ton sourire était illuminé par de très légères dents du bonheur, et des yeux si clairs qu’on ne peut en donner la couleur. Je suis resté galvanisé face à toi,après que tu aies souri aux propos d’un jeune homme blond et que tu te sois assise jusqu’à Bercy. C’était hier soir vers 21h sur la ligne 6. J’espère que j’aurais la chance de te revoir…