Un doux visage

Vous êtes montée à villiers je crois en queue de train et lorsque je vous ai aperçu vous étiez à quelques centimètres de moi fermement agrippée à la rampe centrale. moi curieusement troublé par votre beauté je n’ai pu continuer à lire sérieusement.

Descente à pont de vallois vers 9h20 que déjà la foule nous séparait…plus loin vous êtes passée devant moi dans la rue.

quelque chose me dit que l’on ne travail pas très loin l’un de l’ autre, alors peut être aurais je la chance de vous croiser durant l’heure de midi.